Lettre Wallonie- Bruxelles au Québec - Pascale DELAGNES au Festival international de la chanson de Granby.
" Après avoir séduit le jury et conquis le public du Festival international de la chanson de Granby (FICG) en 2004,
l’auteure-compositeure-interprète de Bruxelles, Pascale DELAGNES, a effectué un retour au festival, cette fois à titre d’invitée.
Pour l’occasion, elle s’est produite jeudi le 22 septembre 2005, au Théâtre Palace de Granby,
lors d'une soirée où se sont succédés sur scène trois des neufs finalistes de la 37e édition du FICG,
de même que Laurence JALBERT et Chloé SAINTE-MARIE. Durant cette soirée, Pascale DELAGNES a interprété quelques pièces puisées au répertoire de son prochain album,
Ma Petite Robe Rouge. S’en dégage un désir de parler de la vie, avec énergie, de partager en poésie et en musique et de donner aux textes,
qu'ils soient drôles ou sérieux, caractère et force de vie.
Lauréate du FICG en 2004 dans la catégorie interprète,
Pascale DELAGNES a par la suite participé à la tournée des lauréats 2005 du FICG,
tournée qui a permis à sa voix envoûtante de faire des adeptes aux quatre coins du Québec.(...) "
La Voix de l'Est (Granby- Canada), Francine Baudouin
" Le vendredi 17 septembre 2004, Pascale Delagnes (bruxelles, Belgique)
est nommée grande gagnante de la catégorie interprète de la 36ème édition du Festival International de la chanson de Granby.
L'artiste a séduit également la foule et les cinq membres du Jury. Elle se voit décerner, entre autres, un prix de 5000 dollars offert par le Festival. "
La Presse, Montréal, extrait, Christian Côté
" Première en scène, la chanteuse aux pieds nus Pascale Delagnes a choisi de lever le voile sur un autre de ses talents.
La lauréate dans la catégorie interprète a plutôt voulu nous baigner dans ses propres compositions.
Un bon choix. A presque 30 ans, Delagnes n'en demeure pas moins dotée d'un physique et d'une bouille d'enfant.
Malgré tout , ses premiers accords ont vite rétabli les faits: solidement ancrée sur le sol, elle peut compter sur une voix solide, pleine et malléable.
En l'écoutant, on pense à une Lynda Lemay avec de la substance, du coffre, et plus chanteuse que raconteuse.
Ses musiques où se mêlent la bohème gitane, le charme de la musette et les parfums arabisants sont teintés d'un filet de mélancolie.
Puis il y a cet accordéon qu'elle enfile à sa deuxième pièce et qui est son meilleur compagnon de scène. "
Le devoir, Montréal, extrait, Sylvain Cormier
" (...)La veille, il n' y avait rien eu à dire. Trois des quatre interprètes en lice méritaient la palme, et la victoire de Pascale Delagnes était conséquente:
la Belge, craquante et très nature, a proposé des chansons qui avaient gardé le meilleur de ses années en théâtre de rue, pleine de gouaille, de charme et de sentiment vrai. (...)"
Sabam Magazine, Sylvie Godefroid
Pascale, c'est le soleil des voyages.
Le sel d'un air marin qui se chante, Qui se danse " Pascale sourit.
Du bout d'un coeur qui bat. Avec des lèvres ouvertes, et un petit rouge à lèvres qui lui sied.
Rouge. Comme cette petite robe rouge qu'elle promène de scènes en voyages.
Auteur de ses chanson, pascale chante. C'est l'arme à l'oeil qu'elle vous dit " regardez- moi de travers, j' men fous. "
Pascale, c'est larme au poing qu'elle vous dit " des petits bonheurs, j'en ai des tas ".
Et si le bitume dicte sa loi, Pascale s'en fout. Elle est comme ça. Sans fard. Juste ce petit rouge qui lui va...
Juste avec son accordéon qu'elle promènes sans relâche. Pascale, c'est le soleil des voyages. Le sel d'un air marin qui se chante.
Qui se danse. Son album, Ma petite Robe Rouge, c'est un peu comme ça qu'il est conçu. Au gré des rencontres et des errances.
Au gré des allées, des vents, des senteurs, Pascale glane des images, des sons, des émotions.